mercredi 21 octobre 2009
Un jour sans l'utilisation de la voiture
1)
2)Les objecteurs de croissance reprennent à leur compte la journée sans voiture. Avec pour but de «sortir de la civilisation automobile».
Des rues fermées au trafic, les transports publics gratuits pour la journée, de nombreuses animations... Voilà à quoi ressemblait la journée sans voiture du 22 septembre. Cette année, s'il n'était pas réanimé par quelques associations, cet événement serait définitivement porté disparu. Au fil des ans, la journée sans voiture s'était fondue dans une plus consensuelle semaine de la mobilité. Le Réseau des objecteurs de croissance propose de revenir à l'esprit initial. «Nous voulons sortir de la civilisation de la voiture», énonce Thibault Schneeberger, l'un des décroissants. Rien de moins. Ce réseau est né en 2008 d'une autre journée mondiale, celle sans achats. Il vise à questionner la logique de croissance économique, accusée de mener la planète dans le mur. «Nous sommes 200 membres sur Genève et des groupes sont nés dernièrement sur Vaud, Neuchâtel et le Jura», explique Julien Cart, un éducateur spécialisé, qui affirme avoir eu bien de la peine à trouver du travail parce qu'il refusait de passer son permis de conduire.
Trajets inutiles visés:
Les actions proposées par les objecteurs de croissance pour le mardi 22 septembre restent modestes: une parade cycliste et l'occupation de places de parking (lire ci-contre). «Il s'agit de susciter la réflexion. Nous ne visons pas tous les trajets automobiles. Si chacun utilisait sa voiture de façon plus intelligente, on vivrait beaucoup mieux», avance Eric Vanoncini, de l'association cycliste Roue libre. Les chiffres cités ont de quoi faire réfléchir. A Genève, plus de la moitié des déplacements en voiture font moins de cinq kilomètres, soit au maximum 20 minutes à vélo et, aux heures de pointe, chaque véhicule transporte en moyenne 1,2 passager. Mardi, les autorités genevoises seront aux abonnés absents. En Suisse, la tendance est générale. En 2005, plus de 80 agglomérations helvétiques participaient encore à la semaine de la mobilité. Cette année, seuls le canton de Vaud ainsi que les villes de Lausanne et de Zurich organisent quelque chose.
1)NOM DU SITE: journée sans voitures photos
Des rues fermées au trafic, les transports publics gratuits pour la journée, de nombreuses animations... Voilà à quoi ressemblait la journée sans voiture du 22 septembre. Cette année, s'il n'était pas réanimé par quelques associations, cet événement serait définitivement porté disparu. Au fil des ans, la journée sans voiture s'était fondue dans une plus consensuelle semaine de la mobilité. Le Réseau des objecteurs de croissance propose de revenir à l'esprit initial. «Nous voulons sortir de la civilisation de la voiture», énonce Thibault Schneeberger, l'un des décroissants. Rien de moins. Ce réseau est né en 2008 d'une autre journée mondiale, celle sans achats. Il vise à questionner la logique de croissance économique, accusée de mener la planète dans le mur. «Nous sommes 200 membres sur Genève et des groupes sont nés dernièrement sur Vaud, Neuchâtel et le Jura», explique Julien Cart, un éducateur spécialisé, qui affirme avoir eu bien de la peine à trouver du travail parce qu'il refusait de passer son permis de conduire.
Trajets inutiles visés:
Les actions proposées par les objecteurs de croissance pour le mardi 22 septembre restent modestes: une parade cycliste et l'occupation de places de parking (lire ci-contre). «Il s'agit de susciter la réflexion. Nous ne visons pas tous les trajets automobiles. Si chacun utilisait sa voiture de façon plus intelligente, on vivrait beaucoup mieux», avance Eric Vanoncini, de l'association cycliste Roue libre. Les chiffres cités ont de quoi faire réfléchir. A Genève, plus de la moitié des déplacements en voiture font moins de cinq kilomètres, soit au maximum 20 minutes à vélo et, aux heures de pointe, chaque véhicule transporte en moyenne 1,2 passager. Mardi, les autorités genevoises seront aux abonnés absents. En Suisse, la tendance est générale. En 2005, plus de 80 agglomérations helvétiques participaient encore à la semaine de la mobilité. Cette année, seuls le canton de Vaud ainsi que les villes de Lausanne et de Zurich organisent quelque chose.
1)NOM DU SITE: journée sans voitures photos
CONSULTATION:20/10/2009
2)NOM DU SITE: Le Courriere
CONSULTATION: 20/10/2009
ADRESSE WEB:http://www.lecourrier.ch/index.php?name=NewsPaper&file=article&sid=443537#
CONSULTATION: 20/10/2009
ADRESSE WEB:http://www.lecourrier.ch/index.php?name=NewsPaper&file=article&sid=443537#
mardi 20 octobre 2009
Journée sans voiture
2) Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...
La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.
La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.
Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.
1) Bibliographie:
- Nom du site: journée sans voiture wikipédia
- Date de consultation: 20/10/09
- Adresse: http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture
2) Bibliographie:
- Nom du site: 22 septembre: journée mondiale sans voiture
- Date de consultation: 20/10/09
- Adresse: http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm
samedi 17 octobre 2009
Agriculture et dialogue des cultures
1) Le thème retenu pour la Journée mondiale de l'alimentation et le TeleFood en 2005, " Agriculture et dialogue des cultures ", évoque la contribution des différentes cultures à l'agriculture mondiale et plaide en faveur d'un dialogue sincère entre les cultures, condition préalable de tout progrès dans la lutte contre la faim et contre la dégradation de l'environnement.
Bien que le passage de la chasse et de la cueillette à une production alimentaire fondée sur la culture et l'élevage - autrement dit, la naissance de l'agriculture - se soit produit de façon indépendante dans de nombreuses régions du monde voilà environ 10 000 ans, l'histoire de l'agriculture est riche d'exemples d'échanges interculturels aux conséquences majeures. La première trace archéologique d'activité agricole en Europe atteste d'une technologie avancée, en l'absence d'outils plus élémentaires. Selon une théorie en vigueur, les populations du Moyen-Orient auraient apporté en Europe leurs outils et leurs technologies. Il semblerait que de telles migrations de populations agricoles aient eu lieu en Afrique, en Amérique centrale et du Sud, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-est. Pourquoi ces individus se sont-ils déplacés? L'agriculture, en offrant une source de nourriture plus sûre, entraînait un accroissement de la population, dont une partie finissait par migrer vers de nouvelles terres pour éviter la surpopulation.
2) Le nombre de personnes sous-alimentées ayant augmenté approximativement de 105 millions en 2009, on compte à l'heure actuelle 1,02 milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde, ce qui signifie que presque un sixième de l’humanité est victime de sous-alimentation.
Des investissements tant publics que privés seront nécessaires: des investissements publics ciblés viseront à promouvoir et à faciliter les investissements privés, notamment par les exploitants agricoles eux-mêmes.
À l’occasion de la Journée et de la Semaine mondiales de l’alimentation 2009, réfléchissons à ces chiffres et aux souffrances humaines qu’ils recouvrent. Crise ou pas, nous disposons des connaissances requises pour lutter contre la faim. Nous sommes aussi capables de trouver de l’argent pour résoudre des problèmes lorsqu’on les considère importants. Travaillons ensemble pour garantir que la faim soit reconnue comme un problème critique et trouvons une solution. Le Sommet mondial de l’alimentation proposé par la FAO pour le mois de novembre 2009 pourrait être fondamental pour l’éradication de la faim.
1) Bibliographie :
- Nom du site: journée mondiale
- Date de consultation: 17/10/09
- Adresse: http://www.journee-mondiale.com/64/16_octobre-alimentation.htm
2) Bibliographie:
- Nom du site: Get involved : journée mondiale de l’alimentation
- Date de consultation: 17/10/09
- Adresse: http://www.fao.org/getinvolved/worldfoodday/fr/
La journée mondiale de l'alimentation
1)la Journée mondiale de l'alimentation
16 octobre
L'objet de la Journée mondiale de l'alimentation, proclamée en 1979 par la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), est de faire mieux connaître les problèmes alimentaires dans le monde et de renforcer la solidarité dans la lutte contre la faim, la malnutrition et la pauvreté. Cette journée commémore la date de la fondation de la FAO en 1945. En 1980, l'Assemblée générale des Nations Unies a accueilli favorablement la célébration de la Journée, considérant que "l'alimentation est une condition nécessaire à la survie et au bien-être de l'être humain et qu'elle est un besoin fondamental."
C'est le rapport annuel de la FAO sur les événements courants d'importance pour l'agriculture mondiale. Il examine les facteurs politiques qui affectent les performances agricoles aux niveaux mondial et régional. Il analyse aussi des thèmes d'intérêt courant ou émergeant, et présente chaque année une étude approfondie sur un thème choisi d' importance particulière pour l'alimentation et l'agriculture mondiales.
2)Une mauvaise allimentation :
enfants de moins de deux ans à l'origine du décès de près d'un enfant sur cinq
L'allaitement : une priorité pour sauver des vies et développer le potentiel de l'enfance.
On estime qu'actuellement 63 pour cent des enfants de moins de six mois dans les pays en développement ne sont pas allaités comme il conviendrait. Les résultats sont catastrophiques : les nourrissons qui sont pas très vite nourris exclusivement au sein se défendent moins bien contre des maladies mortelles comme la pneumonie et la diarrhée et ils souffrent de carences en nutriments essentiels pour développer leur corps et leur esprit.
1)Date de consultation : 16/10/2009
Nom du site : la bibliotheque Dag Hammarskjold
Adresse du site : http://www.un.org/depts/dhl/dhlf/food/index.html
2)Nom du site : unicef
Date de consultation : 17/10/2009
Adresse du site : http://www.unicef.org/french/media/media_27814.html
16 octobre
L'objet de la Journée mondiale de l'alimentation, proclamée en 1979 par la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), est de faire mieux connaître les problèmes alimentaires dans le monde et de renforcer la solidarité dans la lutte contre la faim, la malnutrition et la pauvreté. Cette journée commémore la date de la fondation de la FAO en 1945. En 1980, l'Assemblée générale des Nations Unies a accueilli favorablement la célébration de la Journée, considérant que "l'alimentation est une condition nécessaire à la survie et au bien-être de l'être humain et qu'elle est un besoin fondamental."
C'est le rapport annuel de la FAO sur les événements courants d'importance pour l'agriculture mondiale. Il examine les facteurs politiques qui affectent les performances agricoles aux niveaux mondial et régional. Il analyse aussi des thèmes d'intérêt courant ou émergeant, et présente chaque année une étude approfondie sur un thème choisi d' importance particulière pour l'alimentation et l'agriculture mondiales.
2)Une mauvaise allimentation :
enfants de moins de deux ans à l'origine du décès de près d'un enfant sur cinq
L'allaitement : une priorité pour sauver des vies et développer le potentiel de l'enfance.
On estime qu'actuellement 63 pour cent des enfants de moins de six mois dans les pays en développement ne sont pas allaités comme il conviendrait. Les résultats sont catastrophiques : les nourrissons qui sont pas très vite nourris exclusivement au sein se défendent moins bien contre des maladies mortelles comme la pneumonie et la diarrhée et ils souffrent de carences en nutriments essentiels pour développer leur corps et leur esprit.
1)Date de consultation : 16/10/2009
Nom du site : la bibliotheque Dag Hammarskjold
Adresse du site : http://www.un.org/depts/dhl/dhlf/food/index.html
2)Nom du site : unicef
Date de consultation : 17/10/2009
Adresse du site : http://www.unicef.org/french/media/media_27814.html
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