lundi 14 décembre 2009

Qu'est-ce que la SOLIDARITE HUMAINE ?

Introduction: Tout le mondre devrais se demander qu'est-ce que la solidarité humaine et essayer de la comprendre pour faire un peu plus d'attention a ce que vraimment est important dans la vie!


COMMÉMORATION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA SOLIDARITÉ HUMAINE
1)Toutes les cinq secondes, un enfant meurt de faim, alors que la planète produit, chaque année, suffisamment de quoi nourrir 12 milliards de personnes, soit le double de la population mondiale. En ouverture de la commémoration de la Journée internationale de la solidarité humaine fixée au 20 décembre, le Président du Conseil économique et social (ECOSOC), M. Ali Hachani de la Tunisie, a engagé la communauté internationale à contribuer au Fonds mondial de solidarité. Il a ajouté que la pauvreté est l’une des violations les plus graves des droits de l’homme.


Qu'est-ce que la SOLIDARITE HUMAINE ?
La SOLIDARITE est un sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque qui pousse les Hommes à s'aider mutuellement : " un pour tous, tous pour un ". Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs des membres d'une Communauté concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c'est l'avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis.La SOLIDARITE HUMAINE est un lien fraternel qui fait prendre conscience que tous les Hommes appartiennent à une même Communauté d'intérêt : "Nous sommes embarqués dans le même bateau".Des changements climatiques en passant par la pandémie du sida ,l'Humanité se trouve confrontée à des problèmes qui nous concernent tous. Pour y faire face les Hommes doivent se montrer solidaires les uns vis-à-vis des autres afin de pouvoir affronter et résoudre ces problèmes mondiaux.L'Organisation des Nations unies a décrété le 20 décembre Journée Internationale de la Solidarité Humaine pour attirer l'attention sur l'importance de la solidarité dans la résolution des problèmes mondiaux à savoir la faim, la pauvreté, le sida, les guerres, les changements climatiques etc. ... "Quand la case de ton voisin brûle, aide le à éteindre le feu sinon ta case risque de subir le même sort".

1)Web : http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/ECOSOC6244.doc.htm
Nom du site: Conseil économique et social
ECOSOC/6244
Consultations: 12/12/2009

2))Web : http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/20-decembre-2009-journee
Nom du site: Qu'est-ce que la SOLIDARITE HUMAINE ?
Consultations :12/12/2009

Journée internationale de la solidarité humaine




Introduction :
La solidarité n’est pas un délit ! Si on fait parti de tous ses gens qui participent à cette journée, peut-être on arrive à faire quelque chose.

1) L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier « Solidarnosc » et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la Pologne a inauguré la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine du 20 décembre 2005. Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.
La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, a-t-il voulu, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.
2) Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.
Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.
Solidarnosc a profondément transformé la Pologne, la solidarité peut aider à transformer le monde.
Conclusion :
Si chacun de nous fait un tout petit peu, on pourrait faire la vie plus facile aux autres.

Bibliographie :
1) Nom du site : 20 Décembre : Journée Internationale de la solidarité Humaine.
Consultation : 13/12/09
Adresse : http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153
2) Nom du site : 20 Décembre : Journée Internationale de la solidarité Humaine.
Consultation : 13/12/09
Adresse : http://www.journee-mondiale.com/93/20_decembre-internationale_solidarite_humaine.htm

samedi 28 novembre 2009

Qu'est-ce-que le changment climatique?

Notre planète est en danger. Les changements climatiques sont de plus en plus importants mais nous n'agissons pas.


1)Un changement climatique correspond à une modification durable (de la décennie au million d'années) des paramètres statistiques (paramètres moyens, variabilité) du climat global de la Terre ou de ses divers climats régionaux. Ces changements peuvent être dus à des processus intrinsèques à la Terre, à des influences extérieures ou, plus récemment, aux activités humaines.
Le changement climatique anthropique est l'évolution du climat venant s'ajouter à ses variations naturelles, qui est attribuée aux émissions de gaz à effet de serre engendrées par les activités humaines, et altérant la composition de l'atmosphère de la planète.
Dans le contexte récent de la politique écologique, le terme « changement climatique » ne correspond qu'aux changements du climat actuel, apparus au long du XXe siècle et attendus pour le XXIe siècle.
Dans les travaux du GIEC, le terme « changement climatique » fait référence à tout changement dans le temps, qu'il soit dû à la variabilité naturelle ou aux activités humaines.
Au contraire, dans la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique, le terme désigne uniquement les changements dus aux activités humaines. La Convention-cadre utilise le terme « variabilité climatique » pour désigner les changements climatiques d'origine naturelle.
2) Prenant acte de la réalité du réchauffement climatique dans la décennie 90, et de la responsabilité humaine dans ces déréglements, les dirigeants politiques ont initié une politique de lutte contre le réchauffement de la planète. Le protocole de Kyoto, qui est entré en vigueur en février 2005, est l'exemple le plus actuel d'une stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Cette politique n'est toutefois pas sans diviser les pays industrialisés, peu enclins à remettre en cause leur modèle de croissance, et les pays du Sud inquiets pour leurs projets de développement.
3) Ce que nous appelons le réchauffement climatique, ne correspond pas au cycle naturel des évolutions mondiales de température. Le premier élément qui engendre le réchauffement est ce qu’on appelle la destruction de la couche d’Ozone (O3). En effet, cette ozone se situe dans l’atmosphère entre 7 et 10 kilomètres d’altitude, sa principale propriété est d’arrêter certains éléments de la radiation solaire, les ultra-violets (U.V.). La couche d’ozone permet de réfléchir la moitié du rayonnement solaire en U.V. Ainsi l’autre moitié des U.V. qui a franchi la couche d’ozone, traverse l’atmosphère, celle-ci ayant là encore un rôle de filtre de la radiation. Le problème surgit quand la production de Chlorofluoro carbone devient importante, car celui-ci détruit l’ozone, et donc la proportion du rayonnement solaire en U.V. qui touche le sol terrestre, est plus important. Le deuxième élément du réchauffement climatique est ce que l’on appelle " l’effet de serre ". En effet, l’atmosphère à un rôle important dans le renvoi des infra-rouges. Or le Co2, produit par les rejets carbonés et le méthane, produit naturellement par les flatulences bovines et les zones humides, arrêtent les infra-rouges une fois qu’ils ont réfléchi sur la surface terrestre. Les infra-rouges ne peuvent plus repasser l’atmosphère et sont alors prisonniers. Ils réchauffent donc fortement l’air. En mars 2005, un groupe de 1200 experts mondiaux regroupés dans le G.I.E.C., et mandaté par les nations unies, a prévu pour le XXIe siècle un réchauffement mondial moyen compris entre 2°C et 6°C.

Nous devons agir le plus vite possible avant qu'il soit beaucoup trop tard.



Bibliographies :
1) Nom du site : Changement climatique wikipédia
Consultation : 25/11/09
Adresse : http://fr.wikipedia.org/wiki/Changement_climatique
2) Nom du site : Le changement climatique-La documentation française
Consultation : 25/11/09
Adresse :http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/changement-climatique/index.shtml
3) Nom du site : le réchauffement climatique c’est quoi ?
Consultation : 25/11/09
Adresse : http://www.decroissance.info/Le-rechauffement-climatique-c-est

vendredi 27 novembre 2009

Le changement climatique


LES CONSEQUENCES DU CHANGEMENT CLIMATIQUE :


INTRODUCTION :
"Les changements climatiques prévus auront des effets bénéfiques et néfastes sur les systèmes environnementaux et socio-économiques, mais plus l'ampleur et le rythme de ces changements seront important, plus les effets néfastes prédomineront." (GIEC, 2001)Il est encore très difficile de prévoir avec exactitude les conséquences climatiques pour chaque région du globe. Ce qui semble acquis, c'est le caractère répétitif d'événements alors exceptionnels : "il est très probable (plus de 9 chances sur 10) que les chaleurs extrêmes, les vagues de chaleur et les événements de fortes précipitations continueront à devenir plus fréquents" (GIEC, 2007).Ensuite, des zones à des échelles régionales devraient subir des modifications plus spécicifiques en fonction de leur situation géographique.

LES EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE :
D'une façon générale, les écarts thermiques entre les saisons et les continents seront moins marqués, l'élévation de température sera plus forte aux pôles qu'à l'équateur, sur les continents que sur les océans, la nuit que le jour et plus élevée en hiver qu'en été. Le régime hydrologique sera modifié par l'accélération du cycle évaporation-précipitation.Les deux principales conséquences attendues sont un déplacement vers les pôles des zones climatiques tropicales (d'environ 100 km par degré d'élévation de température) et l'accentuation de la dynamique et des contrastes climatiques (A. Nicolas, 06/2004). "Le réchauffement le plus important est attendu sur les terres émergées et aux latitudes élevées, et le moins important est escompté dans le sud de l'océan indien et dans certaines parties de l'Atlantique nord" (GIEC, 2007).Les précipitations seront plus importantes aux latitudes élevées et plus faibles dans la plupart des régions émergées subtropicales.-Les glaciers de montagne continuent leur régression généralisée et devraient avoir tous disparu d'ici 50 à 100 ans. -La superficie et l'épaisseur de la couverture neigeuse et de la glace marine diminueront. -L’élévation du niveau des mers pourrait atteindre près d'un mètre,
-Un réchauffement supplémentaire de 4 à 7 degrés est attendu en Arctique
-Le pergélisol des régions polaires, subpolaires et montagneuses, un héritage issu de la dernière glaciation il y a 120 000 ans, devrait continuer de fondre
-La fréquence, l'intensité et la durée des phénomènes extrêmes (canicules, inondations, sécheresses, cyclones...) seront accentuées.-Selon le GIEC, la qualité de l'eau douce pourrait être altérée,
des mouvements de milliers d'espèces sont enregistrés sur tous les continents. -Tous les secteurs socio-économiques subiraient les conséquences de stress supplémentaires
-Les taux de récolte dans les secteurs de l'agriculture, de la foresterie et des pêches sont sensibles au climat.
-Sur la santé humaine : les conséquences seront très certainement largement négatives. -Les constructions et les centres urbains doivent s'adapter à la multiplication des catastrophes naturelles-Plus d'une centaine de millions de personnes vivant dans des deltas,
-L'effet de serre favorise la destruction de la couche d'ozone.
-L'acidité des océans augmente significativement.
-Le secteur des assurances devrait revoir à la hausse le coût de son accessibilité.

CONCLUSION : Après avoir lu ce texte on doit penser à ce qu’on peut faire et surtout réagir très vite, et d’une manière efficace.

1)Consultation : 22/11/2009
SITE WEB : http://www.notre-planete.info/geographie/climatologie_meteo/changement_0.php
NOM DU SITE: notre-planete.info


2) CONSULTATIN:22/11/2009


NOM DU SITE: changement climatique images

dimanche 15 novembre 2009

Journée mondiale sans achat


La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées. Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber. La biodiversité s’effondre. C’est aujourd’hui que l’extraction du pétrole entre en déclin. La société de consommation engendre un pillage et l’injustice : 20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires. Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières. La société de consommation est mortifère, elle réduit l’humain à n’être qu’un agent économique : producteur-consommateur.
Elle nie nos dimensions politique, culturelle, philosophique, poétique ou spirituelle qui sont l’essence même de notre humanité. Nous devons nous libérer de cet obscurantisme qui consiste à croire en la toute-puissance de la techno science et à nous défausser sur elle de nos responsabilités. La science repose sur le doute et non sur la foi. L’espoir est de réanimer notre conscience et de traduire nos idées au quotidien dans nos actions.
Renouons avec notre capacité d’autolimitation, individuellement, avec la simplicité volontaire, et collectivement, grâce à la décroissance.
Dès aujourd’hui, faisons un geste symbolique :
pour une journée, ce samedi 25 novembre... cessons d’acheter.
Annoncez-le autour de vous. Dites-le à vos amis.
Impliquez votre famille. Simplifiez votre vie.
Copiez l’affiche de la Journée sans achat.
Placardez-la à votre travail, chez vos voisins, partout autour de vous.
Fêtons la Journée sans achat.
BIBLIOGRAPHIE :
Nom du site : Action consommation : journée mondiale sans achat
Consultation : 15/11/09
Adresse : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-internationale-sans-achat.htmlç

samedi 14 novembre 2009

La journée sans achats


Introduction: On doit faire tous l’effort de ne rien acheter pendant un jour: le 26 novembre et ce jour la penser à tout ce qu’on consomme et reconaitre si tout ce qu’on achète est nécessaire ou si seulement ce sont des caprices.

Le pouvoir de dire non ?Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ?

Conclusion: J’espère que ce texte vous fasse refléxionner et qu’on commence tous a penser deux fois les choses avant de les acheter !

NON DU SITE : -26 novembre : Journée Mondiale Sans Achats
-journée sans achats images
CONSULTATIONS :3/11/2009
WEBSITE :- http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
http://futurrouge.files.wordpress.com/2009/04/journee_sans_achat_2009_01_m1.jpg

mercredi 21 octobre 2009

Vidéo

Un jour sans l'utilisation de la voiture

1)
2)Les objecteurs de croissance reprennent à leur compte la journée sans voiture. Avec pour but de «sortir de la civilisation automobile».

Des rues fermées au trafic, les transports publics gratuits pour la journée, de nombreuses animations... Voilà à quoi ressemblait la journée sans voiture du 22 septembre. Cette année, s'il n'était pas réanimé par quelques associations, cet événement serait définitivement porté disparu. Au fil des ans, la journée sans voiture s'était fondue dans une plus consensuelle semaine de la mobilité. Le Réseau des objecteurs de croissance propose de revenir à l'esprit initial. «Nous voulons sortir de la civilisation de la voiture», énonce Thibault Schneeberger, l'un des décroissants. Rien de moins. Ce réseau est né en 2008 d'une autre journée mondiale, celle sans achats. Il vise à questionner la logique de croissance économique, accusée de mener la planète dans le mur. «Nous sommes 200 membres sur Genève et des groupes sont nés dernièrement sur Vaud, Neuchâtel et le Jura», explique Julien Cart, un éducateur spécialisé, qui affirme avoir eu bien de la peine à trouver du travail parce qu'il refusait de passer son permis de conduire.

Trajets inutiles visés:

Les actions proposées par les objecteurs de croissance pour le mardi 22 septembre restent modestes: une parade cycliste et l'occupation de places de parking (lire ci-contre). «Il s'agit de susciter la réflexion. Nous ne visons pas tous les trajets automobiles. Si chacun utilisait sa voiture de façon plus intelligente, on vivrait beaucoup mieux», avance Eric Vanoncini, de l'association cycliste Roue libre. Les chiffres cités ont de quoi faire réfléchir. A Genève, plus de la moitié des déplacements en voiture font moins de cinq kilomètres, soit au maximum 20 minutes à vélo et, aux heures de pointe, chaque véhicule transporte en moyenne 1,2 passager. Mardi, les autorités genevoises seront aux abonnés absents. En Suisse, la tendance est générale. En 2005, plus de 80 agglomérations helvétiques participaient encore à la semaine de la mobilité. Cette année, seuls le canton de Vaud ainsi que les villes de Lausanne et de Zurich organisent quelque chose.

1)NOM DU SITE: journée sans voitures photos
CONSULTATION:20/10/2009
2)NOM DU SITE: Le Courriere
CONSULTATION: 20/10/2009
ADRESSE WEB:http://www.lecourrier.ch/index.php?name=NewsPaper&file=article&sid=443537#

mardi 20 octobre 2009

Journée sans voiture

1) JOURNÉE SANS VOITURE À BRUXELLES

2) Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.
La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :
En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.
Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

1) Bibliographie:
- Nom du site: journée sans voiture wikipédia
- Date de consultation: 20/10/09
- Adresse: http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture

2) Bibliographie:
- Nom du site: 22 septembre: journée mondiale sans voiture
- Date de consultation: 20/10/09
- Adresse: http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

samedi 17 octobre 2009

Agriculture et dialogue des cultures



1) Le thème retenu pour la Journée mondiale de l'alimentation et le TeleFood en 2005, " Agriculture et dialogue des cultures ", évoque la contribution des différentes cultures à l'agriculture mondiale et plaide en faveur d'un dialogue sincère entre les cultures, condition préalable de tout progrès dans la lutte contre la faim et contre la dégradation de l'environnement.
Bien que le passage de la chasse et de la cueillette à une production alimentaire fondée sur la culture et l'élevage - autrement dit, la naissance de l'agriculture - se soit produit de façon indépendante dans de nombreuses régions du monde voilà environ 10 000 ans, l'histoire de l'agriculture est riche d'exemples d'échanges interculturels aux conséquences majeures. La première trace archéologique d'activité agricole en Europe atteste d'une technologie avancée, en l'absence d'outils plus élémentaires. Selon une théorie en vigueur, les populations du Moyen-Orient auraient apporté en Europe leurs outils et leurs technologies. Il semblerait que de telles migrations de populations agricoles aient eu lieu en Afrique, en Amérique centrale et du Sud, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-est. Pourquoi ces individus se sont-ils déplacés? L'agriculture, en offrant une source de nourriture plus sûre, entraînait un accroissement de la population, dont une partie finissait par migrer vers de nouvelles terres pour éviter la surpopulation.

2) Le nombre de personnes sous-alimentées ayant augmenté approximativement de 105 millions en 2009, on compte à l'heure actuelle 1,02 milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde, ce qui signifie que presque un sixième de l’humanité est victime de sous-alimentation.
Des investissements tant publics que privés seront nécessaires: des investissements publics ciblés viseront à promouvoir et à faciliter les investissements privés, notamment par les exploitants agricoles eux-mêmes.
À l’occasion de la Journée et de la Semaine mondiales de l’alimentation 2009, réfléchissons à ces chiffres et aux souffrances humaines qu’ils recouvrent. Crise ou pas, nous disposons des connaissances requises pour lutter contre la faim. Nous sommes aussi capables de trouver de l’argent pour résoudre des problèmes lorsqu’on les considère importants. Travaillons ensemble pour garantir que la faim soit reconnue comme un problème critique et trouvons une solution. Le Sommet mondial de l’alimentation proposé par la FAO pour le mois de novembre 2009 pourrait être fondamental pour l’éradication de la faim.


1) Bibliographie :
- Nom du site: journée mondiale
- Date de consultation: 17/10/09
- Adresse: http://www.journee-mondiale.com/64/16_octobre-alimentation.htm

2) Bibliographie:
- Nom du site: Get involved : journée mondiale de l’alimentation
- Date de consultation: 17/10/09
- Adresse: http://www.fao.org/getinvolved/worldfoodday/fr/

La journée mondiale de l'alimentation

1)la Journée mondiale de l'alimentation

16 octobre

L'objet de la Journée mondiale de l'alimentation, proclamée en 1979 par la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), est de faire mieux connaître les problèmes alimentaires dans le monde et de renforcer la solidarité dans la lutte contre la faim, la malnutrition et la pauvreté. Cette journée commémore la date de la fondation de la FAO en 1945. En 1980, l'Assemblée générale des Nations Unies a accueilli favorablement la célébration de la Journée, considérant que "l'alimentation est une condition nécessaire à la survie et au bien-être de l'être humain et qu'elle est un besoin fondamental."
C'est le rapport annuel de la FAO sur les événements courants d'importance pour l'agriculture mondiale. Il examine les facteurs politiques qui affectent les performances agricoles aux niveaux mondial et régional. Il analyse aussi des thèmes d'intérêt courant ou émergeant, et présente chaque année une étude approfondie sur un thème choisi d' importance particulière pour l'alimentation et l'agriculture mondiales.

2)Une mauvaise allimentation :
enfants de moins de deux ans à l'origine du décès de près d'un enfant sur cinq
L'allaitement : une priorité pour sauver des vies et développer le potentiel de l'enfance.
On estime qu'actuellement 63 pour cent des enfants de moins de six mois dans les pays en développement ne sont pas allaités comme il conviendrait. Les résultats sont catastrophiques : les nourrissons qui sont pas très vite nourris exclusivement au sein se défendent moins bien contre des maladies mortelles comme la pneumonie et la diarrhée et ils souffrent de carences en nutriments essentiels pour développer leur corps et leur esprit.

1)Date de consultation : 16/10/2009
Nom du site : la bibliotheque Dag Hammarskjold
Adresse du site : http://www.un.org/depts/dhl/dhlf/food/index.html

2)Nom du site : unicef
Date de consultation : 17/10/2009
Adresse du site : http://www.unicef.org/french/media/media_27814.html

dimanche 27 septembre 2009

Les points positives


Trois piliers
Le développement durable repose sur « trois piliers », trois principes que doivent prendre en compte collectivités et entreprises :

1) La bonne gestion économique: si elles doivent être financièrement performantes, entreprises et collectivités doivent aussi contribuer au développement économique de leur zone d'implantation.
2) Le progrès social: leurs activités doivent assurer de saines et équitables conditions de travail, d’hygiène et de rémunération à leurs travailleurs et respecter la déontologie commerciales dans leurs relations avec fournisseurs, clients, communautés locales et société en général.
3) La préservation de l’environnement: les activités de l'entreprise ou de la collectivité doivent être compatibles avec le maintien des écosystèmes et attentives à leurs impacts en termes de consommation des ressources, production de déchets, émissions polluantes…

L’Agenda 21
En 1992, lors du sommet de la Terre de Rio, 173 pays ont adopté l’Agenda 21. Il s’agit d’une déclaration fixant un programme très diversifié d'actions pour le 21ème siècle afin de s'orienter vers le développement durable de la planète. Cet « agenda » énumère quelque 2500 recommandations concernant les problématiques liées à la santé, au logement, à la pollution de l'air, à la gestion des mers, des forêts et des montagnes, à la désertification, à la gestion de l’eau et de l’assainissement, de l’agriculture et des déchets.Il encourage également les collectivités territoriales à s’appuyer sur les partenaires locaux (habitants, associations, entreprises) pour mettre en place un programme « développement durable » à leur échelle, appelé « Agenda 21 local.
BIBLIOGRAPHIE:
NOM DU SITE : bruxelles environnement
CONSULTATION : 22/09/09
ADRESSE URL : http://www.bruxellesenvironnement.be/Templates/Particuliers/Informer.aspx?id=1754

Définition du développement durable


Selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland, le développement durable est :

« un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »
Face à l'urgence de la crise écologique et sociale qui se manifeste désormais de manière mondialisée (changement climatique, raréfaction des ressources naturelles, écarts entre pays développés et sous-développés, droit aux ressources de la Terre (principe de destination universelle des biens).
Tous les secteurs d'activité sont concernés par le développement durable : l'agriculture, l'industrie, l'habitation, l'organisation familiale, mais aussi les services (perte drastique de biodiversité, catastrophes naturelles et industrielles), le développement durable (ou développement soutenable, anglicisme tiré de Sustainable development) est une réponse de tous les acteurs (États, marché, société civile) pour reconsidérer la croissance économique à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects écologiques, environnementaux et sociaux humain du développement.

Il s’agit aussi, en s’appuyant sur de nouvelles valeurs universelles (responsabilité, participation et partage, principe de précaution, débat, innovation, …) d’affirmer une approche double :

Dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations futures ;
Dans l’espace : chaque humain a le même finance, tourisme,...) qui, contrairement à une opinion quelquefois répandue, ne sont pas immatériels.

BIBLIOGRAPHIE:

NOM DU SITE: Wikipédia
CONSULTATION: 22/09/09
ADRESSE URL: http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_durable