samedi 28 novembre 2009

Qu'est-ce-que le changment climatique?

Notre planète est en danger. Les changements climatiques sont de plus en plus importants mais nous n'agissons pas.


1)Un changement climatique correspond à une modification durable (de la décennie au million d'années) des paramètres statistiques (paramètres moyens, variabilité) du climat global de la Terre ou de ses divers climats régionaux. Ces changements peuvent être dus à des processus intrinsèques à la Terre, à des influences extérieures ou, plus récemment, aux activités humaines.
Le changement climatique anthropique est l'évolution du climat venant s'ajouter à ses variations naturelles, qui est attribuée aux émissions de gaz à effet de serre engendrées par les activités humaines, et altérant la composition de l'atmosphère de la planète.
Dans le contexte récent de la politique écologique, le terme « changement climatique » ne correspond qu'aux changements du climat actuel, apparus au long du XXe siècle et attendus pour le XXIe siècle.
Dans les travaux du GIEC, le terme « changement climatique » fait référence à tout changement dans le temps, qu'il soit dû à la variabilité naturelle ou aux activités humaines.
Au contraire, dans la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique, le terme désigne uniquement les changements dus aux activités humaines. La Convention-cadre utilise le terme « variabilité climatique » pour désigner les changements climatiques d'origine naturelle.
2) Prenant acte de la réalité du réchauffement climatique dans la décennie 90, et de la responsabilité humaine dans ces déréglements, les dirigeants politiques ont initié une politique de lutte contre le réchauffement de la planète. Le protocole de Kyoto, qui est entré en vigueur en février 2005, est l'exemple le plus actuel d'une stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Cette politique n'est toutefois pas sans diviser les pays industrialisés, peu enclins à remettre en cause leur modèle de croissance, et les pays du Sud inquiets pour leurs projets de développement.
3) Ce que nous appelons le réchauffement climatique, ne correspond pas au cycle naturel des évolutions mondiales de température. Le premier élément qui engendre le réchauffement est ce qu’on appelle la destruction de la couche d’Ozone (O3). En effet, cette ozone se situe dans l’atmosphère entre 7 et 10 kilomètres d’altitude, sa principale propriété est d’arrêter certains éléments de la radiation solaire, les ultra-violets (U.V.). La couche d’ozone permet de réfléchir la moitié du rayonnement solaire en U.V. Ainsi l’autre moitié des U.V. qui a franchi la couche d’ozone, traverse l’atmosphère, celle-ci ayant là encore un rôle de filtre de la radiation. Le problème surgit quand la production de Chlorofluoro carbone devient importante, car celui-ci détruit l’ozone, et donc la proportion du rayonnement solaire en U.V. qui touche le sol terrestre, est plus important. Le deuxième élément du réchauffement climatique est ce que l’on appelle " l’effet de serre ". En effet, l’atmosphère à un rôle important dans le renvoi des infra-rouges. Or le Co2, produit par les rejets carbonés et le méthane, produit naturellement par les flatulences bovines et les zones humides, arrêtent les infra-rouges une fois qu’ils ont réfléchi sur la surface terrestre. Les infra-rouges ne peuvent plus repasser l’atmosphère et sont alors prisonniers. Ils réchauffent donc fortement l’air. En mars 2005, un groupe de 1200 experts mondiaux regroupés dans le G.I.E.C., et mandaté par les nations unies, a prévu pour le XXIe siècle un réchauffement mondial moyen compris entre 2°C et 6°C.

Nous devons agir le plus vite possible avant qu'il soit beaucoup trop tard.



Bibliographies :
1) Nom du site : Changement climatique wikipédia
Consultation : 25/11/09
Adresse : http://fr.wikipedia.org/wiki/Changement_climatique
2) Nom du site : Le changement climatique-La documentation française
Consultation : 25/11/09
Adresse :http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/changement-climatique/index.shtml
3) Nom du site : le réchauffement climatique c’est quoi ?
Consultation : 25/11/09
Adresse : http://www.decroissance.info/Le-rechauffement-climatique-c-est

vendredi 27 novembre 2009

Le changement climatique


LES CONSEQUENCES DU CHANGEMENT CLIMATIQUE :


INTRODUCTION :
"Les changements climatiques prévus auront des effets bénéfiques et néfastes sur les systèmes environnementaux et socio-économiques, mais plus l'ampleur et le rythme de ces changements seront important, plus les effets néfastes prédomineront." (GIEC, 2001)Il est encore très difficile de prévoir avec exactitude les conséquences climatiques pour chaque région du globe. Ce qui semble acquis, c'est le caractère répétitif d'événements alors exceptionnels : "il est très probable (plus de 9 chances sur 10) que les chaleurs extrêmes, les vagues de chaleur et les événements de fortes précipitations continueront à devenir plus fréquents" (GIEC, 2007).Ensuite, des zones à des échelles régionales devraient subir des modifications plus spécicifiques en fonction de leur situation géographique.

LES EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE :
D'une façon générale, les écarts thermiques entre les saisons et les continents seront moins marqués, l'élévation de température sera plus forte aux pôles qu'à l'équateur, sur les continents que sur les océans, la nuit que le jour et plus élevée en hiver qu'en été. Le régime hydrologique sera modifié par l'accélération du cycle évaporation-précipitation.Les deux principales conséquences attendues sont un déplacement vers les pôles des zones climatiques tropicales (d'environ 100 km par degré d'élévation de température) et l'accentuation de la dynamique et des contrastes climatiques (A. Nicolas, 06/2004). "Le réchauffement le plus important est attendu sur les terres émergées et aux latitudes élevées, et le moins important est escompté dans le sud de l'océan indien et dans certaines parties de l'Atlantique nord" (GIEC, 2007).Les précipitations seront plus importantes aux latitudes élevées et plus faibles dans la plupart des régions émergées subtropicales.-Les glaciers de montagne continuent leur régression généralisée et devraient avoir tous disparu d'ici 50 à 100 ans. -La superficie et l'épaisseur de la couverture neigeuse et de la glace marine diminueront. -L’élévation du niveau des mers pourrait atteindre près d'un mètre,
-Un réchauffement supplémentaire de 4 à 7 degrés est attendu en Arctique
-Le pergélisol des régions polaires, subpolaires et montagneuses, un héritage issu de la dernière glaciation il y a 120 000 ans, devrait continuer de fondre
-La fréquence, l'intensité et la durée des phénomènes extrêmes (canicules, inondations, sécheresses, cyclones...) seront accentuées.-Selon le GIEC, la qualité de l'eau douce pourrait être altérée,
des mouvements de milliers d'espèces sont enregistrés sur tous les continents. -Tous les secteurs socio-économiques subiraient les conséquences de stress supplémentaires
-Les taux de récolte dans les secteurs de l'agriculture, de la foresterie et des pêches sont sensibles au climat.
-Sur la santé humaine : les conséquences seront très certainement largement négatives. -Les constructions et les centres urbains doivent s'adapter à la multiplication des catastrophes naturelles-Plus d'une centaine de millions de personnes vivant dans des deltas,
-L'effet de serre favorise la destruction de la couche d'ozone.
-L'acidité des océans augmente significativement.
-Le secteur des assurances devrait revoir à la hausse le coût de son accessibilité.

CONCLUSION : Après avoir lu ce texte on doit penser à ce qu’on peut faire et surtout réagir très vite, et d’une manière efficace.

1)Consultation : 22/11/2009
SITE WEB : http://www.notre-planete.info/geographie/climatologie_meteo/changement_0.php
NOM DU SITE: notre-planete.info


2) CONSULTATIN:22/11/2009


NOM DU SITE: changement climatique images

dimanche 15 novembre 2009

Journée mondiale sans achat


La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées. Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber. La biodiversité s’effondre. C’est aujourd’hui que l’extraction du pétrole entre en déclin. La société de consommation engendre un pillage et l’injustice : 20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires. Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières. La société de consommation est mortifère, elle réduit l’humain à n’être qu’un agent économique : producteur-consommateur.
Elle nie nos dimensions politique, culturelle, philosophique, poétique ou spirituelle qui sont l’essence même de notre humanité. Nous devons nous libérer de cet obscurantisme qui consiste à croire en la toute-puissance de la techno science et à nous défausser sur elle de nos responsabilités. La science repose sur le doute et non sur la foi. L’espoir est de réanimer notre conscience et de traduire nos idées au quotidien dans nos actions.
Renouons avec notre capacité d’autolimitation, individuellement, avec la simplicité volontaire, et collectivement, grâce à la décroissance.
Dès aujourd’hui, faisons un geste symbolique :
pour une journée, ce samedi 25 novembre... cessons d’acheter.
Annoncez-le autour de vous. Dites-le à vos amis.
Impliquez votre famille. Simplifiez votre vie.
Copiez l’affiche de la Journée sans achat.
Placardez-la à votre travail, chez vos voisins, partout autour de vous.
Fêtons la Journée sans achat.
BIBLIOGRAPHIE :
Nom du site : Action consommation : journée mondiale sans achat
Consultation : 15/11/09
Adresse : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-internationale-sans-achat.htmlç

samedi 14 novembre 2009

La journée sans achats


Introduction: On doit faire tous l’effort de ne rien acheter pendant un jour: le 26 novembre et ce jour la penser à tout ce qu’on consomme et reconaitre si tout ce qu’on achète est nécessaire ou si seulement ce sont des caprices.

Le pouvoir de dire non ?Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ?

Conclusion: J’espère que ce texte vous fasse refléxionner et qu’on commence tous a penser deux fois les choses avant de les acheter !

NON DU SITE : -26 novembre : Journée Mondiale Sans Achats
-journée sans achats images
CONSULTATIONS :3/11/2009
WEBSITE :- http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
http://futurrouge.files.wordpress.com/2009/04/journee_sans_achat_2009_01_m1.jpg